Pour se démarquer les uns des autres, les fabricants de produits solaires rivalisent d’imagination en terme de communication. Que ce soit le recyclage des produits, leur impact polluant de la mer ou encore une opération pédagogique sur les différents rayons du soleil, il y a de quoi mettre en valeur vos linéaires solaires.
Les solaires se recyclent en électricité chez Mustela :
La marque d’Expanscience lance une opération inédite de récupération des vieux produits solaires pour les transformer en énergie via un centre spécialisé dans le recyclage. L’opération, qui se déroule jusque fin juin dans plus de 1 000 pharmacies, a pour but de sensibiliser les clients au renouvellement de leurs produits solaires chaque année. La marque se base sur le fait que ces produits perdent de leur efficacité et se dégradent d’une année sur l’autre.
En outre, les personnes qui rapporteront leurs anciens produits solaires, de n’importe quelle marque, pourront bénéficier de 25 % de réduction sur les solaires Mustela.
La Roche Posay joue la carte pédagogique :
Avec son brevet solaire pour tout savoir sur les UV, la marque propose un kit qui permet aux enfants de voir et tester la réaction provoquée par les différents rayons émis par le soleil. Un outil efficace pour prendre conscience de ses effets à destination des enfant de 6 à 11 ans.
Ce dispositif périscolaire gratuit peut s’utiliser par les municipalités, les centres de loisirs, des enseignants volontaires et les pharmacies. Les contenus pédagogiques ont été élaborés par une équipe spécialisée dans l’apprentissage des sciences auprès des enfants, et des médecins dermatologues.
Outre un DVD et des cartes pédagogiques à échanger et à partager sur le thème des Chevaliers du soleil, les enfants peuvent utiliser une boîte qui leur permet d’expérimenter les rayons cachés.
En passant leur main dans les différents compartiments de la boite, ils peuvent observer la lumière invisible, les infrarouges et les ultraviolets. A l’aide d’une carte avec un papier spécial, ils observent les effets des rayons UV sur le papier protégé et non protégé. Ainsi, les enfants réalisent qu’il existe des rayons qui produisent de la chaleur, d’autres qui produisent de la lumière, mais aussi des rayons UV qui ne se voient pas et qui altèrent le papier UV comme la peau.
Algotherm lance une gamme solaire respectueuse des océans :
Chaque année, selon Algotherm, près de 25 000 tonnes de crème solaire seraient dispersées dans les océans de la planète, soit environ 0,8 litre par seconde. Or, certains filtres UV sont soupçonnés d’avoir un impact négatif sur la biodiversité marine, en particulier les coraux.
Pour le lancement d’Algosun, sa nouvelle gamme de soins solaires, Algotherm a mis au point un formule non écotoxique.
La nouvelle gamme est composée de trois produits de protection solaire, une crème solaire visage SPF 50+, un lait solaire SPF 30, et une huile solaire SPF 20, ainsi que de deux soins après-soleil, une émulsion hydratante réparatrice visage & corps et une huile Sublime Réparatrice Corps & Cheveux.
Au cœur des formules : un complexe marin et végétal breveté associant l’huile végétale de karanja, issue des graines de l’arbre de Pongolote, connu pour ses propriétés dermo-protectrices et antibactériennes, et une algue rouge (porphyra umbilicalis), aux propriétés anti-âge. Le complexe contribue également à la protection anti-UVA et anti-UVB des produits.
Cette gamme a été formulée uniquement avec des filtres minéraux (dioxyde de titane et oxyde de zinc), sans parabène, ni phénoxyéthanol.
Bien sûr, l’innocuité des formulations sur l’environnement marin, notamment sur les algues et les coraux, a fait l’objet de longues recherches et expériences.
Pour valoriser et soutenir ces efforts, Algotherm a conclu un partenariat avec le magazine télévisé Thalassa, la célèbre émission de France 3. Un encart en carton est inséré dans chacun des produits proposés à la vente à fin de sensibiliser le grand-public.
De quoi aborder et répéter les conseils de bon sens qui sont la base de la prévention : éviter le soleil aux heures les plus chaudes, protéger les bébés et les enfants au maximum, comprendre que les indices de protections élevés ne dispensent pas de faire attention…
par Sophie Bouhier